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14 mars 2022 1 14 /03 /mars /2022 18:19

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 17:33

Se sentir seul devant autant de responsabilités

Dans une société qui ne ressemble plus à rien,

Hier encore il me suffisait d'avoir l'envie d'y aller

De ne point réchigner pour que tout aille si bien...

 

C'est comme de vivre un cauchemar tout éveillé

Tu retournes les problêmes dans tous les sens

Tu te trouves toujours comme dans cette prison

Dans laquelle tu ne ferais que perdre confiance...

 

Tu te tortures pour sauvegarder ceux qui sur toi

Depuis si longtemps ont l'habitude de compter,

Parce que tu le pouvais d'avoir la tête à l'endroit

Mais il y a tellement de faits qui te laissent brisé...

 

Se sentir seul à avoir envie de fondre en larmes

De cette vie qui t'a mutilée de toutes les facons,

Quand bien même tu sens que tout te désarme

Tu ne peux que te battre à en perdre toute raison...

 

Il est si vrai que l'horizon semble se compliquer

Mais hier encore pour toi il n'existait même pas,

C'est la raison pour laquelle tu te dois de tenter

De garder tant d'espoirs qui n'e vivent ,qu'en toi...

 

Et plus tard quand tout celà ne sera que passé

Tu te promèneras dans le jardin des souvenirs

En contemplant tout ce qui un jour t"a si blessé

En te surprenant même de leur offrir un sourire...

 

Se sentir seul et en soi trouver l'envie de croire

Qu'à la table de la vieillesse chacun retrouvera

Pour seul repas qui console sa propre histoire,

Celle qui te réjouit lorsqu'elle t'emboites le pas.

 

...

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 18:00

Je me rassure en me disant que peut-être

Dans une autre vie je pourrais à nouveau

Retrouver comme en ouvrant une fenêtre,

Les miens pour tenir mon coeur au chaud...

 

J'avance en gardant blotti au fond de moi,

Le fol espoir que tout ne soit que l'envers

De ce rêve dont je crois le ciel s'exaspère,

Mais jamais, je ne baisserais pas les bras.

 

Je me lève et je vais sur une même route,

Celle d'hier d'aujourd'hui de chaque matin

En n'ignorant pas combien celà me coute,

Car je sais aller à la rencontre d'un destin.

 

Celui qui depuis la tendre enfance me dit

D'aller toujours dans une même direction

Où tout semble s'effacer comme l'horizon,

Je me rassure de savoir que c'est ma vie...

 

Quand je me sens dans une colère noire

Celle qui fait que je m'en veux d'être moi

Alors que je pourrais vivre sans tout celà,

Une seule nuit me donne l'envie de croire..

 

Je me rassure en me souvenant du père

Qui m'a pris dans ses bras en me disant

Qu'il savait, et qu'il en était tellement fier

Ce jour là je savais, que je serais battant.

 

Et une mère qui baise mon front brulant,

Comme si elle pensait de cette manière

Eloigner de moi tout ce qui rend si amer,

Pour elle je demeurerais un doux enfant.

 

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 18:28

Je le sens près de nous depuis tellement longtemps

Que je me suis habitué à le retrouver dans cette vie

Où il partage avec son coeur le moindre des soucis,

Je ne veux plus avoir à oublier combien il est grand...

 

Pendant de longues années il m'a combien manqué

sans que je n'y puisse rien, sans n'avoir rien décidé,

J'ai adopté le profil bas car je le sentais bien blessé,

J'aimerais tant qu'il me dise qu'il m'a déjà pardonné...

 

Je ne parviendrais jamais à faire la route à l'envers,

Celle qui peut-être m'ouvrirait à nouveau son coeur

Et, que tous deux nous nous sentions moins amers

Pour appréhender tout le relent d'autant de laideurs....

 

J'ai beau me dire que le temps joue en notre faveur

Que les rives qui nous séparaient se rapprocheront,

Mais je crains avec raison que ce nouveau bonheur

Ne soit qu'une autre barrière, qui referme ma prison...

 

J'ai le sentiment d'être passé aussi loin de cette vie

Dont je rêvais et pour laquelle j'ai tellement sacrifié,

Je vois combien je vieillis à force d'être si incompris

Perdant ainsi chaque jour bien plus, les êtres aimés...

 

J'ai en moi un ravin qui me sépare encore d'un ciel

Qui n'a jamais accordé un regard sur quelque âme

Aussi courageuse soit-elle et dont la seule querelle

Etait contre le destin qui se plaisait à 'être si infame...

 

J'ai le dos qui se courbe devant la mienne destinée

Qui a fait de moi le contraire, de tout ce que j'ai été

J'ai longtemps pensé que dans le ciel il était inscrit

Que je serais heureux, et jusqu'à la fin de cette vie.....

 

J'ai tenté en vain de ressembler à tant des anciens

Qui trouvaient leur bonheur dans les yeux éclairés

De ceux qu'ils aimaient à en oublier leurs chagrins,

Ne plus penser à une vie qui leur avait été donnée....

 

Dans le visage de mon oncle il y a celui de ce père.

Auquel je n'ai jamais su dire toutes ces pensées là,

Car à présent en moi il n'est plus un grand mystère

Tant la vie m'a changée en s'occupant aussi de moi...

 

Lorsque la jeunesse n'est là que pour nous éloigner

De ceux, qui nous souhaitent ce qu'ils n'ont pas été,

Il y a comme un océan qui vient pour nous entrainer

A un jour ne nous nourrir que de bien trop de regrets....

 

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14 novembre 2011 1 14 /11 /novembre /2011 20:23

J'ai fermé les yeux et je me suis revu petit

Sur les chemins de ce village de l'enfance,

Je n'avais qu'une mère et cette innocence

Qui permettent d'appréhender quelque vie.

 

J'ai souvent pensé au courage qu'il fallait,

Pour avec rien s'occuper de deux enfants

Au milieu de nulle part où tout est dément

Et l'ignorance qui fait que d'elle on se riait.

 

J'ai fermé les yeux et revu les spuffrances

De celle qui à présent a si peur pour nous,

Celle qui venait à peine de reprendre goût

A la vie qui lui a été une si longue errance.

 

Je m'en veux de n'avoir pas tenté plus tôt

De faire ces peites chôses tant ordinaires,

Qui à ces yeux qui sont réèllement beaux

Ont la  richesse de lui faire oublier l'amer.

 

Une vie à panser tellement de blessures

Dont celles qui ne se refermeront jamais,

Qui font que toujours le quotidien éffraie,

Celui qui devant lui ne voit que des mûrs.

 

Elle a l'insolence que donne les combats

Elle a la pertinence de ceux qui ont vécu,

Et moi je déhambulais en perdant de vue

Le fat qu'un jour tout celà un jour s'en ira.

 

 

 

     A NOTRE MAMAN

 

 Pour ma petite soeur qui voit tout...

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14 novembre 2011 1 14 /11 /novembre /2011 17:45

J'ai le coeur fatigué de tant des déboires,

Qui sont enfouis au fond de ma mémoire

Qui sont tels des chaines à mes chevilles

Qui sont comme des peines à mon esprit....

 

Je n'ai plus le coeur léger de mes débuts,

Quand j'étais rempli de l'amour des miens

Celui qui savait bien effacer mes chagrins,

Faire que mon coeur se soit longtemps tù....

 

Et sur le trajet qui me mène au mien enfer

Celui de tant de matins tellement d'années,

Je tente de comprendre ce qui m'est arrivé

Et pourquoi je me trouve dans cette galère...

 

J'ai le coeur fatigué de me sentir tant trahi

Et de me sentir de plus en plus submèrgé

Par l'envie qui me vient de m' abondonner,

Partir à la recherche, d'un semblant de vie...

 

Je vois ceux qui se laissent tellement vivre

Sans se soucier de tout ce qui peut arriver,

Comme s'ils pouvaient se sentir bien libres,

D'avoir quelqu'un sur qui toujours compter...

 

Ma colère se heurte aux yeux de ma mère

Et chaque jour elle arrive bien par s'effacer,

Mais cette mère qui décline et que je perds

Ne pourra pas éternellement nous protéger...

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 17:47

Il n'est pas de bonheur autre que celui que tu percois

Dans le regard de ceux pour lesquels tu te démènes,

Qui plonge au fond de ton coeur pour effacer ta peine

Celle qui lorsqu'elle n'est pas comprise te met à l'étroit...

 

Il s'en est allé le temps où tu te sentais tellement bien

Dans une vie qui t'étais pourtant plus que compliquée,

Car tu te sentais aimé car tu les avais tous à tes côtés

Même, si tu n'as rien fait pour les perdre sur le chemin...

 

A présent tu avances car tu n'as jamais fait autrement,

Vers un horizon qui ne ressemble plus du tout au rêve

Que tui as hébergé dans ton coeur qui était un enfant,

Celui qui a fait que depuis tant de matins tu te relèves...

 

Tu l'as trainé comme s'il n'était pas le tien sur la route

Où le vrai courage d'un quotidien ne fait que t'abimer,

Tu ne lui a rien permis, pas même d'avoir des doûtes

Tu ne t'es jamais arrété ne serait-ce que pour écouter...

 

Ecouter le temps qui pâsse avec ses si petits instants

Qui t'émerveillent tellement ils paraissent bien inutiles,

Voir la vie autrement que comme quelque combattant

Effleurer le monde, se sentir une âme plutôt tranquille...

 

J'ai donné ce que j'avais de mieux en moi à des loups,

En pensant avec innocence qu'il sauraient reconnaitre

Que je me suis forcé au courage, en me faisant si fou

Mais que je ne suis jamais embarassé des peut-êtres...

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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 17:53

Je suis si triste de voir que je perds les miens

Et que je ne cherche même pas à les retenir,

Tant pour eux j'ai accepté de bien trop souffrir

Qu'à l'envers j'ai repris mon bâton de pélerin...

 

Je ne désire qu'une chôse, me retrouver seul

Dans le silence de toutes les larmes refoulées

Lors d'une vie dont j'ai fait mon propre linceul,

Tellement m'a quittée la force que j'ai d'aimer...

 

Je regarde sans voir tous ceux qui m'entourent,

J'écoute sans vouloir comprendre leurs propos

Je me hais d'un parcours où je me levais si tôt,

Faire en sorte d'être à la mesure de cet amour...

 

Je me sens pétrifié à l'automne d'une triste vie,

Où jamais je ne me serais permis un printemps

Pour n'avoir pas à voir dans leurs yeux l' ennui

Que vous inflige ce qui semble parfois révoltant...

 

J'ai donné sans rien attendre d'autre en retour,

Que le sourire qui se partage dans ce monde,

Où tout est déjà estampillé d'un côté immonde,

Auquel on ne survit qu'en retrouvant de l'amour...

 

Du fond d'un puits le ciel vous semble bien petit

D'autant plus qu'hier il l'était davantage encore,

Je ne veux plus dorénavant conjuguer mon sort

A ceux qui dans la vie ne te donnent plus envie...

.

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6 novembre 2011 7 06 /11 /novembre /2011 13:43

J'ai abimé ma vie à force des compromis

Que j'ai accépté même en sachant bien,

Qu'il ne sert à rien d'être tellement gentil

Avec ceux qui de la vie n'ont rien compris.

 

Au quotidien je me suis donné corps et âme

Rien que pour résoudre la terrible équation

D'une vie que certains trouvent trop infâme,

Et sans davantage se remettre en question.

 

Dans une famille tel dans une cour de récré,

Le brouhaha remplacant les conversations

M'a jeté comme dans une si sombre prison

Que malgré moi je me suis à nouveau fermé.

 

Je n'aurais pas du écouter ce coeur si puéril

Qui croyait qu'on peut faire changer les gens

Rien qu'en leur épargnant le plus petit souci,

Je sais à présent n'avoir pas été assez grand.

 

J'avais en tête que la génération qui arrivais,

Comùprendrait un horizon que je leur ouvrais

Celui qui élogne de nous le trop grand regret

De n'avoir pas eu, tout ce qui nous manquait.

 

Je me suis brisé les ailes de tant des espoirs

Que je cultivais dans un petit coin d'une âme

Qui finit de se défaire et sombre dans le noir,

De n'avoir pas su éviter de cette vie, la trâme...

 

J'ai heurté ma vraie nature pour ne pas être

Celui qui n'a pas voulu tenir un engagement

Qu'il avait fait, alors qu'il n'était qu'un enfant

Celui qui s'est privé de la plus petite fenêtre.

 

 

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 16:59

J'aurais aimé ne jamais pouvoir te dire adieu,

Du fait de t'avoir auparavant combien désirée

D'avoir été ce qu'il y avait de mieux à mes yeux,

Une âme d'enfant, un sourire pour m'enchanter....

 

Mais la vie est passée tel un torrent de boue

Qui m'a emporté tellement loin de cet amour,

Que parfois je pense que j'ai été comme fou

Autant que mon coeur devenu bien trop lourd....

 

Je suis comme enchainé à tant de souvenirs

Qu'il me semble que ce ne pouvait être moi,

A qui tu as permis de se blottir dans tes bras

Au plafond des étoiles si promptes à sourire...

 

Je garde dans mes yeux des images figées,

Si belles car tu as si bien voulu me les offrir

Comme pour une éternité me faire regretter,

De n'avoir pas su seulement.avec toi mourir...

 

Il est du bonheur comme de quelque rempart

Qui voudrait t'éloigner des regrets qui peinent

Un coeur dont la vie a été confié à un hasard,

Qui souvent trop loin de ton esprit t'enchaine...

 

 

   AVOIR EU LA CHANCE D'AIMER

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