Il n'est pas de bonheur autre que celui que tu percois
Dans le regard de ceux pour lesquels tu te démènes,
Qui plonge au fond de ton coeur pour effacer ta peine
Celle qui lorsqu'elle n'est pas comprise te met à l'étroit...
Il s'en est allé le temps où tu te sentais tellement bien
Dans une vie qui t'étais pourtant plus que compliquée,
Car tu te sentais aimé car tu les avais tous à tes côtés
Même, si tu n'as rien fait pour les perdre sur le chemin...
A présent tu avances car tu n'as jamais fait autrement,
Vers un horizon qui ne ressemble plus du tout au rêve
Que tui as hébergé dans ton coeur qui était un enfant,
Celui qui a fait que depuis tant de matins tu te relèves...
Tu l'as trainé comme s'il n'était pas le tien sur la route
Où le vrai courage d'un quotidien ne fait que t'abimer,
Tu ne lui a rien permis, pas même d'avoir des doûtes
Tu ne t'es jamais arrété ne serait-ce que pour écouter...
Ecouter le temps qui pâsse avec ses si petits instants
Qui t'émerveillent tellement ils paraissent bien inutiles,
Voir la vie autrement que comme quelque combattant
Effleurer le monde, se sentir une âme plutôt tranquille...
J'ai donné ce que j'avais de mieux en moi à des loups,
En pensant avec innocence qu'il sauraient reconnaitre
Que je me suis forcé au courage, en me faisant si fou
Mais que je ne suis jamais embarassé des peut-êtres...