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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 16:34

C'était comme à l'habitude ben agité,

Chacun avait son avis qu'il défendait

Et tout celà  davantage me rassurait

Car ma mère ne saurait pas changer.

 

Pour avoir raison elle crie sur nous,

Sa mauvaise foi l'emporte encore,

Même si elle sait avoir toujours tort

Elle nous remettra au garde à vous.

 

Le sujet n'est pas important en soi,

Il me plait de la voir nous affronter

Et nous dire tout et n'importe quoi,

Sans jamais vraiment se démonter.

 

Elle est restée comme une gamine

Tellement espiègle et tant vivante,

Que les petites histoire mesquines,

C'est pour elle, que je les invente...

 

Je suis tellement à l'opposé d'eux

Mais il y a un courant de tendresse,

Qui me fait oublier les côtés odieux,

Pour les rejoindre dans la detresse....

 

 

 

L'Amour de ma mère

 

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 18:21

Celles sur lesquelles je ne me suis pas arrété

Car trop pressé  de celles qui devaient venir,

Car trop vaniteux pour voir tout celà cesser,

J'ai en esprit plein de joies qui me font souffrir.

 

Celles que je n'ai jamais très bien su retenir

Car je pensais qu'il y en aurait de plus belles

Car je ne savais pas voir au delà du sourire,

J"ai en esprit plein de joies qui sont cruelles.

 

Celles qui sont là mais que je ne vois plus

Car préoccupé par celles qui me hantent

Car je sais que je les ai que si peu vécues,

J'ai en esprit plein de joies qui sont latentes.

 

Celles sur lesquelles je voudrais revenir

Tant ma mémoire n'est que souffrances,

Car j'aurais tellement des choses à dire,

J'ai en esprit plein de joies, d'abscences.

 

Celles que mon coeur a laissé s'en aller

Car préoccupé par celles qui suivaient,

Car il trouvait normal ce qui s"ensuivait

J'ai en esprit plein de joies qui passaient.

 

Celles qui semblent faites pour l'éternité

Car on a l'age de l'orgueil, de la passion,

Car on est en prise avec le fait d'avancer

J'ai en esprit plein de joies, de frustrations.

 

Celles qui reviennent comme des regrets

Car la vie est bien assez longue pour ça,

Car on pense plus à ce qui a si vite passé

J'ai en esprit plein de joies, qui sont à moi.

 

Celles qui peuplent ma nuit pour y causer

Car en journée je n'ai pas autant le temps,

D'être resté celui que la vie a tant effrayé,

J'ai en esprit plein de joies qui ont raison.

 

Celles qui feront le lit de toutes les années

Car il en reste pour que j'éprouve les faits

Car il en est que je n'aurais qu'à regretter,

J'ai en esprit plein de joies, de mutilations.

 

Celles qui me rempliront de tant de haine

Car je me suis engagé dans un combat

Où j'étais sans que rien je ne comprenne,

J'ai en esprit plein de joies si loin de moi.

 

L'homme vient au monde en ne sachant rien

Vit une vie durant sans troprien comprendre,

Mais se met en tête d'être maitre d'un destin.

Mais en ignorant qu'il n'y  a rien à prétendre.

 

L'homme nemprunte une route bien incertaine

Sur son chemin il s'éclaire de bien petites joies

Qui un temps lui font certes oublier ses peines,

Mais les unes et les autres restent sur ses pas.

 

L'homme se conjugue au regard de son père

L'amour de sa mère se veut une conscience,

Avec le temps il saisit d'autant qu'il s'y perd,

Mais il est trop tard pour nier cette évidence.

 

L'homme un jour se trouve tellement fatigué

Qu'il ne parvient plus à dire sa propre vérité,

Il laisse faire celui qui à son tour va s'inventer

Des rêves pour y enfouir ses si belles années.

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 18:03

Il est temps de nous dire adieu

Même si c'est encore trop tôt,

Même si tout sonne bien faux,

Et me donne un coup de vieux.

 

Une nouvelle page à déchirer

Du grand livre qu'est une vie,

Celle qui nous laisse fatiguée

Nous plongeant dans l'ennui.

 

Encore un morceau de coeur

A laisser derrière malgré soi,

Sans montrer que l'on a peur

De ne plus la savoir avec soi.

 

La mémoire est le cimetière

De l'âme et aussi de  l'esprit

Qui se retrouvent bien amers

Comme dans le fond du puits.

 

J'ai éloigné bien des nuages

Qui faisaient du gris en moi,

En m'inventant du courage,

Lorsque j'avais perdu la foi.

 

J'étais  devenu un rempart

Pour servir vos destnées,

La mienne peut s'écraser,

Ce ne serat que pur hasard.

 

Un jour on ouvre les yeux

Qui se devaient être clos,

Pour se retrouver haineux

D'avoir été plus qu'un idiot.

 

Si une autre vie m'attend

S'il m'est donné un coeur

Comme celui d'un enfant,

Je serais moins un rêveur.

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 17:48

Je suis Quasimodo en sa cathédrale

Enfermé et tellement loin de la vie,

Que commence à effleurer l'ennui,

Qui lui remue jusqu'aux entrailles...

 

Le vide depuis longtemps l'attire

Il se sent triste, ne veut plus vivre,

Autre chose est comme un sourire

Dont jamais plus il ne se délivre...

 

Il a érré un temps entre quatre murs

Jusqu'à s'y plaire tel un petit enfant,

A la fin il les a sentis bien trop durs,

Pour son coeur devenu trop grand...

 

Le bonheur qu'était une cathédrale

S'est avéré un jour bien trop odieux;

Il ns'arrétait sur le moindre détail

Qui rappellait qu' il était malheureux...

 

La vertu est de se couper du monde,

Lorsqu'on le sent bien trop immonde

Avant que davantage il ne vous pèse,

En vous mettant plus en parenthèse...

 

Quand vous vous sentez si enfermé

Et que le besoin de vivre autre chose,

Vient de jour en jour vous interpeller,

Laissez-vous épouser par cette cause...

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 14:32

Combien j'ai de regrets dans la tête

Des chôses merveilleuses permises

Alors que sur cette route je m'entête,

Comme vers une terre tant promise...

 

Je me suis éloigné de si belles rives

Pour être si en paix avec moi-même,

Parfois je me dis que ce qui m'arrive

c'est la confiance en ceux que j'aime...

 

J'ai souvent laissé filer le bonheur

Où du moins ce qui lui tressemble,

Pour ainsi m'éloigner de ce coeur

Pour lequel aujourd'hui je tremble...

 

Mais je sais qu'il appartient à hier

Que je ne pourrais plus atteindre,

Il est tel un horizon qui rend amer

Celui qui rêve d'enfin le rejoindre...

 

Alors il me reste à faire semblant

Et d'accepter le front qui se ride,

De toutes les épreuves du temps

Qui a enfoncé tellement de digues...

 

De ne plus s'attarder sur le miroir

Qui renvoie une image étrangère

Qui te plonge encore dans le noir,

En te rappelant encore plus à hier...

 

Ne pas devoir fouiller une mémoire

Devenue un aussi grand cimetière,

Que ton coeur se refuse à y croire,

Car il te ramène à ce que tu perds...

 

Ne pas se projeter dans un avenir

Où les autres seront bien differents

Qu'ils te feront encore plus souffrir,

Alors que tu es déjà bien tourment...

 

Rien pour tenir le coeur au chaud

Alors que tui te sens bien fatigué,

D'avoir passé une vie à être grand

Pour protéger les êtres tant aimés...

 

Les môts ne viennent plus à moi

J'ai pour ultime refuge le silence,

Tout au fond de moi, je combats

Comme délivré de la conscience...

 

J'ai suivi le chemin de mes ainés

Qui ont contibué à cette histoire,

A laquelle j'ai lié tout mon espoir

Comme pour n'avoir pas à aimer....

 

La famille est comme une chaine

Dont les enfants sont les maillons,

Et tout ton petit monde t'entraine;

Jusqu' à te faire mourir en prison...

 

Car il arrive parfois, que certains

Ne voulant plus être si enchainés

Se meprennent quand au destin,

Auquel on ne peut hélas échapper...

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 13:49

A la table de mon père, nous n'avions rien

Que des rêves d'enfant pour nous rassasier,

Nous nous inventions des vies pour oublier,

Le présent qui était la veille et le lendemain.

 

Je me devais d'être le plus doux des enfants

Car je ne voulais pas cacher toute ma peine

Je vivais dans le royaume qu'était un champ,

Jusqu'au coucher du soleil, c'était mon règne.

 

A la table de mon père je ne trouvais jamais,

Les réponses aux questions bien pertinentes

Qui à cet âge nous viennent et nous effraient,

En moi elles sont demeurées trop innocentes.

 

J'ai souvenir des cris hystériques de ma mère

Que toujours je crois bien je devais déranger,

J'ignorais à quel point sa vie lui était un enfer

Ne voyant que le fait par elle,d'être tant rejeté.

 

A la table de mon père, il n'y avait personne

A qui m'identifier pour pouvoir affronter la vie

Le visage si rempli de peurs^en moi résonne

Tel l'ombre de ce père qui davantage me fuit.

 

Je me souviens de toutes les larmes de haine

Pour ce destin qui ne savait que nous blesser,

De ce ciel auquel j'adressais la mienne peine,

Tel un enfant qui ignorait qu'il se mettait à prier.

 

A la table de mon pêre, je voyais une tristesse

Qui s'engouffrait dans chacun de ces visages

Que j'aimais, jusqu'à en ressentir la detresse

Qui me paraissait le plus grand des outrages.

 

J'avais grand hâte de devenir un jour, grand

Pour apaiser les fronts brûlants de l'injustice

D'une vie qui nous transforme en mendiants,

De ceux pour qui l'amour n'est qu'un caprice.

 

A la table de mon père, j'avais pris du retard,

Ce que j'arrachais à la vie elle me le reprenait

Sans toutefois me priver de la force de croire,

Que même derrière les nuages il me souriait.

 

Ma vie a passé aussi vite que celle de ce père

Qui refusait pour les siens la tyrannie d'un ciel

Si en moi j'ai balayé bien des sottes querelles,

De celà au moins je sais qu'il doit être bien fier.

 

A la table de mon père, j'ai su ouvrir les yeux

Voir qu'en tout hômme doit être une passion

Qui le guidera l'accompagnera dans les cieux

Pour être la transition entre deux générations.

 

Comme une main qui se tend vers l'eternité

Le souvenir de tant de larmes que j'ai versé,

J'ai découvert que la plus grande des vérités

Est l'amour que l'on sait au fond de soi puiser.

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 13:42

Comme une lumière douce

Qui doucement me rassure,

Quand tout semble plus dur

Elle vit en moi et me pousse...

 

Comme une vérité enfouie

Si profond, que j'en oublie

Qu'un jour elle m'a guidée,

Pour aller vers ma destinée...

 

Comme une seconde âme

Qui voudrait me parfaire,

Qui efface toute la colère,

Qui me rend plus infâme...

 

Comme quelque être cher

Qui voudrait me protéger,

En m'envoyant la lumière

Qui s'en vient pour m'aider...

 

 

 

 

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28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 16:47

J'avais vingt-ans et tellement d'espoirs,

De faire de ma vie un exemple à suivre

J'avais entamé la plus folle des histoires

Qui des années durant m'a fait bien ivre.

 

Je tracais un sillon pour aller plus loin,

Que le chemin  choisi pourrait m'ouvrir

J'avais en esprit un si fabuleux dessein

Celui de voir enfin les miens me sourire.

 

J'avais le courage, la volonté pour amis

De ceux que jamais rien ne va disraire,

De ces compagnons je me sentais fier,

J'allais bravement sur la route de la vie...

 

Bien des années ont passé, j'étais seul

A me demander où cette route finissait,

Car je n'avais vu le temps que j'y allais

Que ce qui ne semblait que des écueils.

 

J'ai crié, et seul le silence me répondait,

J'ai compris que personne ne m'écoutait

J'ai tant vomi la peur qui habitait en moi

Que je me suis mis à vivre comme celà.

 

J'ai fini par retrouver une autre rive,

Qui même si elle te trane au hasard

Jusqu'à te sentir comme à la dérive,

Fait qu'à nouveau tu feins de croire...

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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 16:52

Une page puis une autre que l'on écrit

Et celà pendant de si longues années,

On s'offre ainsi le grand livre de la vie

Plein de choses qu'on ne peut oublier.

 

Certaines que l'on aime à faire pleurer

Celles qui nous font verser des larmes,

Poussent notre coeur pour le chavirer

Mais le temps qui vient nous désarme.

 

On se prend les pieds dans la mémoire

Toutes se veulent mieux que le présent,

Celui-ci où l'on se raconte des histoires

Pour ne pas plus sombrer dans le néant.

 

Hier était empreint de tant de nos rêves,

Ceux que nous égarerons sur le chemin

Jusqu'à voir que ces années bien brêves

Ne font que nous rapprocher du chagrin.

 

On ne sait pas qu'il ne s'agit que d'errance

Qui n'aura de chute que dans une tombe,

Puisqu'on perd peu à peu une innocence,

Qui nous en cachait le côté trop immonde...

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 16:47

 

Le coeur qui se brise heurté de solitude

Trouve le réconfort dans ses souvenirs,

Même s'il se souvient avoir eu àsouffrir,

Il en ressort quelques belles certitudes...

 

Je me vois gamin n'ayant pour seul but

Que celui de teni dans ce monde brute,

J'avais peur mais plus que tout du père,

Du regard dont je connaissais la colère...

 

Il ne me donnait pas confiance en moi,

Il me rabaissait peut-être pour m'aider,

Je crois pourtant qu'il ne m'aimait pas,

Ces sensations ne peuvent s'imaginer...

 

J'ai du aller vers le pire pour inventer

Un personnage qui lui ferait honneur,

Qui lui donne envie de se rapprocher

De son enfant dôté d'un grand coeur...

 

Je ne sais pas si j'ai réussi car un jour

Il s'en est allé me laissant en attente,

De ce qui ferait le coeur moins lourd,

La question demeurera si lancinante...

 

J'ai grandi pour ne pas plier à ses yeux

Car il était devenu comme un étranger,

Auquel je révais d'un jour me mesurer

Tous deux n'avons jamais été heureux...

 

Les questions se noient en mon esprit,

M'obligent à fouiller dans ma mémoire

Pour retrouver l'instant où il me sourit,

Me disant que celà me sortirait du noir...

 

Il a fait que je ne vive pas à la manière

De certes tous les enfants de mon âge,

Comme s'il voulait me créer le courage

Qui sur cette terre est bien nécessaire...

 

Je me sens coupé d'une partie de moi

Celle qui aurait pu être celle des rêves,

Celle qui aurait ressemble à une trêve,

De savoir ce que l'on attendait de moi...

 

J'ai tellement de fois sondé les étoiles,

Pour comprendre un destin aussi pâle

Je me suis heurté à ce gris d'un nuage

Qui ressemble à un si sombre présage...

 

Je m'en irais malgré le temps qui lasse

En défiant le vertige de mes angoisses,

Trouver la volonté qui sera nécessaire,

Pour tout refaire, au risque de déplaire...

 

Je me sens comme l'oiseau sans ailes

Qu'un vent contraire a projeté par terre,

Et de ce temps révolu dont il se rapelle

Qi l'oblige à se rebiffer pour mourir fier....

 

Ne pas regarder derrière soi encore,

Car rien n'est terminé de ton devoir,

La dernière page s'écrit avec l'espoir

Que tu gardes en ton coeur bien fort...

 

Je n'ai pas d'état d'âme sur ce passé,

Tant il reste beaucoup de route à faire

Je laisse à ces sôts le soin de s'agiter

D'avoir si bien su couvrir leurs arrières...

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